Notre Voyage vers une Kiné Innovante
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deux préparateurs physiques et kinésithérapeutes du sport
Nous sommes Thomas & Simon : deux Préparateurs Physiques diplômés, nous avons créé Training Thérapie pour répondre aux besoins des sportifs qui sont limités dans leurs progrès à cause d’un manque de mobilité ou de douleurs récurrentes.
Notre savoir faire est unique, car nous possédons une double casquette de Kinésithérapeutes du Sport. Les programmes que nous concevons sont différents de ce que vous avez l’habitude de trouver, vous allez pouvoir recommencer à progresser, sans douleur, et sur du long terme. Le gainage, la vitesse, la mobilité et les techniques d’exécution optimales n’auront plus de secret pour vous.
Notre expérience de sportifs (rugby à haut niveau, judo, musculation, course à pied, fitness fonctionnel…), et nos nombreuses années à travailler auprès de personnes blessées ou présentant des douleurs chroniques, nous a permis de connaitre et de comprendre vos besoins.
deux expériences personnelles de la blessure
Thomas se blesse à l’épaule en 2014
Thomas se blesse à l’épaule en 2014. Aucun médecin, kinésithérapeute, ostéopathe, radiologue… n’arrive à lui diagnostiquer le réel problème. Il fait donc sa propre rééducation, avec ses petites armes d’étudiant kinésithérapeute à l’époque. Les résultats sont moyens, comme tu peux t’en douter. Mais, il ne lâche pas l’affaire, et se forme en plus de ses études de kinésithérapie sur le sujet (complexe) qu’est l’épaule. En accumulant de nouvelles connaissances et en testant lui-même si ces méthodes fonctionnent, il arrive enfin à se débarrasser de ses douleurs et de son manque de mobilité qui l’empêchent de s’entrainer comme il le voulait à l’époque. Pas à pas, le système de réflexion autour du corps humain qui a permis de créer Training Thérapie aujourd’hui est en route. Thomas continue (encore aujourd’hui) à approfondir ses connaissances sur le sujet, pour maitriser au mieux l’articulation de l’épaule.
à 15 ans, Simon se fait une rupture du ligament croisé du genou
De son côté, à 15 ans, Simon se fait une rupture du ligament croisé du genou à droite pendant un match de rugby. Il suit une rééducation classique (massages, électrodes, ultrasons, quelques exercices…) qui s’avère donc malheureusement peu efficace. Il reprend quand même le rugby au bout d’un an de travail sur son genou. Mais il se rompt très rapidement l’autre ligament croisé (à gauche). Cela est malheureusement extrêmement fréquent lorsque la réathlétisation est mal gérée. À l’époque, il en sort très frustré, et décide donc d’aller chercher des réponses en école de kinésithérapie, pour éviter que cela arrive à d’autres sportifs. En ayant vécu un traumatisme si important et avec la frustration d’avoir été mal accompagné pendant sa rééducation, il se dit que s’il peut aider ceux qui ont été dans son cas, il apportera sa pierre à l’édifice. Il continue lui aussi à se former au sujet du membre inférieur plusieurs fois par mois, pour maitriser au mieux les problématiques de cette zone.
training thérapie :
l'histoire d'une rencontre
l'école de kinésithérapie
Simon rencontre donc Thomas dès le premier jour de leur scolarité en école de kinésithérapie. L’alchimie se créée instantanément, et ils développent dès lors leur vision futuriste de la kinésithérapie, pour apporter leur future expertise à un maximum de personnes qui souffrent et qui ont besoin d’aide.
Thomas et Simon suivent donc leur formation initiale en kinésithérapie dans une école Française, obtiennent leur diplôme d’était de Masseur-Kinésithérapeute, et commencent directement à travailler en cabinet libéral.
Mais, ils se heurtent très rapidement à la réalité du terrain, et du système…
un système qui ne nous convient pas
Nos connaissances et le mode de fonctionnement actuel de la kinésithérapie (30 minutes de consultation, avec des ordonnances, certes qui permettent de « rembourser » les soins, mais que nous payons en réalité tous dans nos impôts) ne nous permet pas, à l’époque, de réellement aider les personnes qui souffrent.
À l’époque, nous manquons de connaissances, et nous nous retrouvons parfois face à des personnes qui ont déjà eu à faire à tous les spécialistes de leur région, sans réponse à leur problématique.
Nous décidons donc de continuer à nous former, en dépensant plus de 50.000€ en moins de deux ans pour des formations post-diplôme, qui nous permettent de développer une expertise sur des sujets spécifiques (kinésithérapie du sportif, épaule, genou, dos, gestion de la charge), en passant en parallèle un diplôme de préparateur physique. À cette époque, les semaines sont extrêmement chargées. En plus de tout cela, nous faisons construire notre premier cabinet de kinésithérapie. Cela nous permet de développer et de mettre en place nos connaissances auprès de nos patients, et d’affiner ce qui fonctionne (ou pas).
Mais, comme expliqué plus haut, le mode de fonctionnement du système actuel ne nous convient pas. Les séances sont trop courtes, les patients peu accompagnés le reste de la journée, et le réel retour au terrain est difficile. De plus, nous avons beaucoup de demandes qui proviennent de personnes qui n’habitent pas à côté du cabinet, et il est difficile pour nous de répondre à leur demande avec la distance (à l’époque…).
une difficulté qui devient une opportunité
Et début 2020, la nouvelle du « confinement » tombe. Tout le monde est sous le choc. Comment allons-nous faire pour aider ceux qui souffrent sans les voir ? Nous ne perdons pas une minute, et nous décidons de développer un système de suivi à distance. Les personnes qui souffrent nous contactent, nous réalisons une visioconférence avec eux pour les voir bouger, leur poser des questions précises sur leur problématique… Et nous leur mettons en place un plan de réhabilitation personnel et unique, via une application sur laquelle nous avons filmé et enregistré une banque de données d’exercices vidéo énorme (explications précises, instructions spécifiques au besoin de chacun…). Nous échangeons avec eux tous les jours, via une application de messagerie privée qui nous permet d’être au plus proche de leur réalité, et d’adapter leur programme en fonction de leur état quotidien.
Et surprise… Cela fonctionne.
Cela fonctionne même mieux que des séances en face à face (ce qui est d’ailleurs appuyé par de récentes études scientifiques sur le sujet, quelle coïncidence). En effet, les personnes accompagnées ne sont plus seules la plupart du temps. Là où elles passaient deux fois 30 minutes par semaine avec un kinésithérapeute, elles ont maintenant leur propre accompagnant dans leur poche, sur leur smartphone, tous les jours. Les résultats sont si impressionnants que le bouche à oreille devient quasiment viral, et les demandes affluent tellement que nous sommes obligés de recruter un de nos collègue kinésithérapeute pour nous épauler (après l’avoir formé).
Puis un second fin 2021.
Puis un troisième début 2022.
Et un quatrième au printemps 2022.